News Letter n°2024 - 50 du samedi 14 Décembre

Zéro Artificialisation Nette

EN COURS DE REDACTION

Chaque année, en France 20 000 à 30 000 hectares d'espace naturel, agricole et forestier, sont bétonnés.

A titre comparatif, la ville de Paris intramuros s’étend sur une surface de 10 540 hectares et Bruxelles sur 16 236 hectares.

L’artificialisation des sols est l'une des causes de la perte de biodiversité et est un enjeu majeur pour limiter le réchauffement climatique.

NB : vous l’aurez compris, si vous êtes déjà un spécialiste de la RSE ou une grande entreprise, cet article n’est pas pour vous. Cet article est destiné aux ME (microentrepreneur effectif de moins de 10 personnes) et aux TPE/PME (effectif de moins de 250 personnes), non concernées (pour l’instant) a priori par la CSRD, sauf si donneurs d’ordres et autres parties prenantes les interrogent sur leurs propres indicateurs. Mais, cela peut servir de source d’inspiration, je l'espère ! Je vous laisse juge.


Voyons :

  • Loger les humains et leurs activités
  • L'artificialisation des sols et conséquences sur l'environnement
  • F


  • ZAN et CSRD
  • Les sources

Loger les humains et leurs activités

Le nombre d’habitants, en France métropolitaine, est passé de 41.5 millions en 1936 à un peu plus de 66 millions aujourd’hui.

Entre 1936 et 2020, la part de la population française vivant en ville est passée de 53% à 81% et

Les aires urbaines couvrent aujourd’hui 22% du territoire (contre 7% en 1936) (rapport du Sénat publié en mai 2021).

Depuis 1981, les terres artificialisées sont passées de 3 à 5 millions d’hectares (+70%), soit une croissance nettement supérieure à celle de la population (+19%).

Dans l'étude publiée en juillet 2019, France Stratégie note que ce phénomène s’est accéléré en France au cours des dernières décennies en raison de plusieurs facteurs :

  • l’augmentation du nombre de ménages (+4,2 millions depuis 1999) due à la croissance de la population et à la réduction de la taille des foyers
  • l’étalement urbain :
  • habitat (42% des terres artificialisées), les surfaces urbanisées s'étendent en périphérie des villes du fait de l’augmentation des prix du foncier en centre-ville, de l’attrait des ménages pour l'habitat individuel ou encore de la recherche d’un meilleur cadre de vie.
  • 'infrastructures de transports (28%),
  • services et de loisirs (16%) comme les zones commerciales.
  • la sous-exploitation du bâti existant : la vacance de logements qui représente 8% des logements en 2015, selon l’INSEE , la vacance de commerces dans les villes moyennes ou encore le développement de résidences secondaires contribuent à la demande de logements neufs et donc à l’artificialisation des sols.

Artificialisation des sols et conséquences sur l’environnement

L’artificialisation des sols est à l’origine de plusieurs pressions sur l’environnement :

  • amplification des risques d'inondations suite à imperméabilisation des sols
  • perte de la biodiversité par disparition des écosystèmes ou rupture des continuités écologiques.
  • réchauffement climatique : un sol artificialisé n'absorbe plus de CO2
  • pollutions : métaux lourds, pollution de l'air liée aux transports
  • réduction de la capacité des terres agricoles à nourrir les populations : l’artificialisation entraîne une perte de productivité agricole
  • renforcement des îlots de chaleur en zone urbaine.

et sur la qualité de la vie

  • temps passé dans les transports en commun ou davantage emprunter leurs véhicules motorisés, consomment plus d’énergie et amplifient les émissions de gaz à effet de serre et de polluants dans l’air. En cas de perte d’emploi, les salariés ont également plus de difficultés à renouer avec le marché du travail quand ils sont éloignés des zones d’activités.

L’étalement urbain et la construction en périphérie des villes renforce également la fracture sociale déjà présente en reléguant notamment une partie des habitants à l’écart du centre-ville, provoquant sa désertification et la dévalorisation des petits commerces.

C’est l’


Ce que nous dit la Fédération

Les pro


  • 40 %


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La loi Climat et résilience

La Loi AGEC

La Loi AGEC

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La CSRD et les Normes ESRS


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Aucun plastisque à usage unique

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ZAN et CSRD

Dans l'ESRS E1

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Dans l'ESRS E4

Les

Des sites et sources d’information

Je vous livre cela en masse (pour rappel) :

à suivre ...

No More Plastic révèle une vérité incontournable, peu dite et alarmante : le plastique nuit à notre santé. Aujourd’hui, nous savons que le plastique est dangereux et toxique. C’est un fait. Le savoir, c’est pouvoir tout changer. À nous de relever le défi.




à bientôt dans un prochain post : pour en savoir plus, continuer à se former, échanger les bonnes pratiques et changer nos habitudes.


Transition écologique signifie avant tout Transformation des modes de vie.


Bonne semaine !


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