La News Letter du Samedi 12 Novembre 2022
Mon Glossaire de la RSE
10 mots de plus (la Biodiversité)
La Biodiversité est l'autre enjeu majeur, dont on commence à parler un peu plus.
Le sommet de la Terre de Rio de 1992 avait pourtant présenté 2 textes importants dès ce moment
Les deux aspects (Biodiversité et Climat) sont complètement interdépendants et procèdent l'un de l'autre.
Plus le climat se dégrade, plus la biodiversité est atteinte et plus la biodiversité est atteinte, plus le climat se dégrade : acidification des océans et dégradation des sols en sont les témoins (et les acteurs).
Cela s'appelle une boucle de rétroaction.
Regarder les mots qui nous parlent de BIODIVERSITE est essentiel. Je vous en propose 10 :
1. BIODIVERSITE
ETHYMOLOGIE : Le mot Biodiversité est un néologisme créé à partir du mot grec bios qui signifie vie, et du mot diversité, venant du latin « diversus » qui signifie : opposé, contraire, divers.
Le terme biodiversité a été inventé en 1985, lors de la préparation du Forum américain sur la diversité biologique, et a été utilisé dans le titre du compte rendu de ce forum, en 1988.
Le dictionnaire de l’Académie Française nous dit que le mot BIODIVERSITE est un terme de biologie qui signifie "Richesse naturelle du monde vivant. La biodiversité d’un milieu est déterminée par la variété des écosystèmes, des espèces et de leurs génomes : On parlera de la biodiversité d’un récif corallien».
L'actualité
La biodiversité désigne la variété de l’ensemble du monde vivant organisée selon trois niveaux :
ainsi que les interactions au sein de ces trois niveaux et entre ces niveaux.
La Convention sur la diversité biologique signée lors du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro (1992) (Voir le post n°36 de ce Blog) reconnaît pour la première fois l’importance de la conservation de la biodiversité pour l’ensemble de l’humanité.
La préservation de la biodiversité est considérée comme un des enjeux essentiels du développement durable.
Pour autant, la Biodiversité n’a cessé de se dégrader depuis cette date et en version accélérée. 18 % des espèces ont disparu et 78 % des habitats sont dans un état de conservation défavorable.
Alors que le respect de la biodiversité a à voir avec la survie du monde vivant. Rappelons deux exemples bien connus :
Quatre grands facteurs anthropiques, c'est-à-dire lié à la présence de l’être humain ou de ses actions, ont entraîné une grave perte de la diversité biologique, souvent irréversible :
La biodiversité apporte oxygène, nourriture et eau potable. Elle contribue également au développement des activités humaines en fournissant matières premières et énergies.
La biodiversité est aussi une source d’inspiration dans les domaines scientifiques (industriel et médical notamment) mais aussi humains lorsque l’on observe le comportement des fourmis ou des abeilles, par exemple.
Que dit la Loi ?
La Loi n° 2016-1087 du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000033016237
a été suivi d'un Plan Biodiversité présenté le 4 juillet 2018 qui vise à mettre en oeuvre l'objectif de "reconquête de la biodiversité" de cette Loi:
6 axes stratégiques, 24 objectifs, 90 actions proposées.
Je reprends ci-dessous la liste des 6 axes stratégiques :
Vous remarquerez que tout y est ou presque : alors pourquoi n'avance-t-on pas ? pourquoi est-ce que ce n'est pas appliqué ?
Proposition de lectures
Je vous invite à lire le contenu du très intéressant et bien documenté site de l’Observatoire national de la biodiversité d’où j’ai extrait toutes ces informations https://www.ofb.gouv.fr
Et notamment sa page Indicateurs : https://naturefrance.fr/
Je vous invite à lire aussi :
L’Observatoire national de la biodiversité (ONB) est le portail d'informations publiques sur la biodiversité, produites par les acteurs de la biodiversité en France métropolitaine et outre-mer.
Son objectif est de porter à la connaissance d’un large public des informations sur l’état de la Biodiversité en France, sur les pressions et usages qui l’affectent et sur les réponses et mesures prises pour sa protection.
Instauré par le ministère en charge de l’environnement en 2011 suite au Grenelle de l’environnement, son pilotage a été confié en 2017 à l’Agence française pour la biodiversité devenue en 2020 l’Office français pour la biodiversité.
L'Office français de la biodiversité (OFB) est un établissement public dédié à la protection et la restauration de la biodiversité en métropole et dans les Outre-mer, sous la tutelle des ministères de la Transition écologique et de l'Agriculture et de l'alimentation.
L’OFB est responsable de 5 missions complémentaires :
Proposition de lectures
Allez- voir, c’est très bien fait et très clair !
ETHYMOLOGIE : The Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES) est traduit en bon français par Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la Biodiversité et les services écosystémique (PIBSE).
Les missions de l’IPBES sont de renforcer, grâce à la science, les connaissances qui serviront de fondement à la formulation de meilleures politiques pour :
L’IPBES effectue, avec pour sujet la Biodiversité, le même type de travail que celui réalisé pour le Climat par
le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). C'est donc un organisme très
important.
L’Ipbes mobilise les connaissances spécialisées de toutes les disciplines scientifiques et des communautés de savoir, Il fournit des données pertinentes pour les politiques publiques et permet ainsi d’accélérer ainsi leur mise en œuvre aussi bien au niveau du gouvernement que du secteur privé et de la société civile.
Entre 2016 et 2019, l’IPBES a publié (je les rappelle ici car cela donne une bonne idée de son travail) :
La FRB (Fondation pour la recherche sur la biodiversité) accueille le secrétariat scientifique du comité français pour l’IPBES : La FRB relaie l’IPBES en France.
Proposition de lectures :
https://www.fondationbiodiversite.fr/degradation-restauration-terres-evaluation-ipbes/
L’IPBES et la FRB appellent à des changements profonds de nos modes de vie et de consommation qui passent par la réorganisation fondamentale des facteurs économiques, sociaux et technologiques qui les régissent.
L’IPBES est aussi important que le GIEC.
04 - SOLS
ETHYMOLOGIE : Le mot est dérivé du latin "solum" qui signifie : « fondement, fond, base, surface de la terre, pays, contrée ».
Le sol est la couche terrestre la plus superficielle.
Les pédologues (du grec PEDON=SOL) qualifient de "sol" ou de "terre arable" les décimètres supérieurs de la surface de la Terre, généralement très vivants et poreux, où les plantes prennent racine. Les sols se forment à partir de la roche sous-jacente sous l’effet de l’érosion et de l’activité des êtres vivants à la surface de la Terre.
« De la surface terrestre jusqu’à la roche-mère, les sols sont des couches meubles, perméables, structurées horizontalement, vivantes et réactives
qui se renouvellent à travers la transformation de substances organiques et inorganiques – avec l’apport d’énergie et de substances présentes dans l’atmosphère –
et dans lesquelles ces processus de transformation se poursuivent. »
(Winfried Blum, 1986, Hochschule Für Bodenkultur, Vienne)
Vassili Dokoutchaiev, géographe russe (1846-1903) a démontré que le sol est le résultat de l'action du climat sur les roches, mais la topographie, les agents biologiques (êtres vivants) et la durée modifient les conditions et le degré d'altération.
Tout cela nous indique bien que Biodiversité et Climat sont indubitablement liés et que le sol prend une grande part dans leur évolution.
Il en est de même pour les océans.
L’étude des sols trouve des applications dans l'agriculture, l'horticulture, la sylviculture.
Ses enjeux concernent aussi la connaissance et la maîtrise des risques dans les domaines aussi variés que :
Proposition de lectures :
Je vous invite à regarder les très jolies planches de Terres et humanisme dont celles sur :
ETHYMOLOGIE : Le mot forêt a une origine latine : "foris" qui signifie : dehors. On connaît aussi l'adjectif "forasticus" : extérieur
Sur ce modèle le bas-latin a formé "forestare" : mettre dehors, bannir.
Foresta désigne un ban et un terrain sur lequel on a prononcé un ban (un exil), dans l'intérêt de la chasse seigneuriale. "Forestare" signifiait donc créer une forêt, parce que ces bannissements s'appliquaient surtout aux bois où se trouvaient les bêtes fauves, et que les arbres poussaient bientôt dans les campagnes soustraites à la culture. On passe ainsi de foresta, territoire prohibé, à forêt.
Source : https://www.littre.org/definition/forêt
La déforestation est la réduction de surface forestière au profit d'autres utilisations des terres.
D'après le rapport sur l'Etat Mondial des Forêts publié par la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture) en 2016, près de 80% de la déforestation mondiale est causée par :
> l'agriculture pour mettre en place de nouvelles cultures (huile de palme, soja, etc.) ( et on remarquera que ce sont des produits mauvais pour la santé des humains et des animaux) :
Les 20% restants se répartissent entre :
> la construction d'infrastructures (routes, barrages),
> les activités minières (recherche d’or et d’autres minerais ou de pétrole) et >l'urbanisation.
En zone tropicale, l’expansion agricole est la première cause de la déforestation, forêts converties en zones de culture ou de pâturage (zones souvent abandonnées quelques années plus tard pour cause d’appauvrissement et d’érosion).
NOTA : 43 millions d’hectares de forêts ont disparu entre 2004 et 2017 dans les 24 fronts de déforestation identifiés par le WWF.
43 millions d’hectares, c’est 430 000 km², cela devient très parlant si on se rappelle que :
> La surface de la France est de 543 940 km²
> La surface de l’Allemagne, c’est 357 588 km²
80 000 km² de forêt disparaissent chaque année à travers le monde (Asie, Amérique du Sud, Afrique), soit la surface de la France tous les 6 à 7 ans.
La déforestation est à la fois une cause et une conséquence du changement climatique.
20% des émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines proviennent de la dégradation des forêts.
Alors que les grandes surfaces boisées sont des puits de carbone qui stockent le dioxyde de carbone et rafraîchissent l'air.
La forêt s’abîme aussi :
. La pollution atmosphérique due, par exemple, aux pots d’échappement ou à l’incinération des déchets provoque des pluies acides qui rendent les arbres malades ou les tuent.
. Les catastrophes naturelles (cyclones, tempêtes) et les incendies les détruisent
. Les insectes et les champignons apportent des maladies qui tuent les arbres.
La déforestation est à l’origine de nombreux dégâts
× glissement de terrain,
× coulée de boue,
× augmentation des inondations
× menace sur les besoins de subsistance d'une personne sur 5 dans le monde, dont les peuples autochtones.
Elle contribue fortement à l'érosion de la biodiversité, au réchauffement climatique et à la fragilisation des populations locales qui dépendent des écosystèmes forestiers pour subvenir à leurs besoins.
Pourquoi faut-il protéger les forêts ?
Les forêts abritent plus de la moitié de la biodiversité terrestre et on y découvre encore chaque jour de nouvelles espèces.
Sans les forêts, la Terre deviendrait sans doute un désert. Sans leur habitat, des centaines d’espèces d’animaux disparaîtraient. Il y aurait moins d’eau, moins d’oxygène. L’homme finirait sans doute lui-même par disparaître.
Proposition de lectures :
Voulez-vous créer votre micro-forêt ?
Une mini-forêt consiste à planter très densément (au minimum 3 arbres par m2) une petite surface (entre 100 et 300 m2) avec des essences différentes qui, toutes, doivent être indigènes au milieu où elles sont mises en terre.
Vous pouvez consulter aussi :
La pollution lumineuse est une grande perturbatrice de la Biodiversité.
Presque un quart de la planète est éclairé en permanence et cette surface augmente de 2% chaque année. Or l’éclairage nocturne déstabilise gravement le fonctionnement du vivant. La lumière artificielle
> perturbe la pollinisation,
> décale la fleuraison,
> brouille les déplacements des oiseaux et des tortues de mer.
On retrouve des conséquences de cette pollution partout, chez les microbes, insectes, animaux et plantes ... et chez les humains.
Ainsi la fleuraison et la feuillaison commencent et s’arrêtent à des moments qui ne correspondent plus à leurs cycles naturels.
Que dit la Loi ?
La Loi portant engagement national pour l'environnement dite Grenelle II a été codifiée à l'article L583-1 du code de l'environnement et précise les 3 raisons de prévenir, supprimer ou limiter les émissions de lumière artificielle lorsque ces dernières sont causes de perturbation
comme nous l'avons énoncé ci-dessus.
Ce premier article est complété des articles L583 - 2 à 7 qui apportent de nombreuses précisions quand à son application.
Je vous laisse les consulter ici :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGISCTA000022496025
Un arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, à la réduction et à la limitation des nuisances lumineuses détaille les obligations liées à la gestion des installations d'éclairage et notamment :
Autre Texte encore : La Loi de transition énergétique pour la croissance verte (18 août 2015) comporte 2 articles faisant régérence à la maîtrise de la consommation énergétique de l'éclairage public et de ses nuisances lumineuses (Article 188 et 189).
Le Plan de sobriété énergétique du Gouvernement présenté le 13 octobre 2022 a mis l'accent sur l'éclairage pubic : enfin on va éteindre les lampadaires entre 1h et 5h du matin (déjà prévu dans la loi de 2018).
Mais pourquoi pas 23 h et 6 heures du matin : ça fait 1/3 d'économie en plus : mystère !
et vous avez remarqué : c'est double effet : économie d'énergie et baisse notable de la pollution lumineuse.
Proposition de lectures :
500 drones ont envahi le ciel de New York et créé la polémique
ETHYMOLOGIE : Le PERMAFROST est repris de l'anglais et est la contraction ou un assemblage des mots "permanent" et "frost", "gel" en français. Il désigne la couche du sol gelé en permanence.
Le permafrost (ou pergélisol) désigne un sol dont la température se maintient en dessous de 0°C pendant plus de deux années consécutives. Le permafrost couvre environ 14 millions de kilomètres carrés, Il représente 20% de la surface terrestre.
Le permafrost est recouvert par une couche de terre, appelée « couche active », qui dégèle en été et permet ainsi le développement de la végétation.
Particulièrement présent en Alaska et en Sibérie, la fonte actuelle du permafrost est directement lié au réchauffement climatique. Les températures moyennes en Sibérie auraient augmenté de 2 à 3 degrés ces trente dernières années, provoquant un dégel partiel de la surface terrestre. Des chercheurs russes et américains ont ainsi mis en évidence que, sur une superficie de presque 2 fois celle de la France, le permafrost est en train de fondre pour la première fois depuis la fin du dernier âge glaciaire, il y a 11 000 ans.
La fonte du permafrost crée de graves problèmes pour les populations locales : affaissement de terrains, déformation des routes, rupture des oléoducs…
Au delà des conséquences matérielles, les scientifiques s’inquiètent des effets climatiques du dégel du permafrost.
En effet, cette couche gelée contient d’énormes quantités de matière organique essentiellement composée de carbone et de méthane, en quantité deux fois plus importantes que dans l'atmosphère terrestre (1 700 milliers de tonnes selon le CNRS).
Rappellons que le méthane est un gaz à effet de serre très actif, en partie responsable du changement climatique.
En libérant ce CO2 dans l'atmosphère, le phénomène de réchauffement climatique s'en trouvera accentué, dans un cercle vicieux, une "boucle rétroactive" : plus on émet de CO2, plus la température globale augmente, plus le permafrost fond, et plus il émet de CO2..
Or, selon des simulations du Centre national pour la recherche atmosphérique (NCAR) aux Etats-Unis, plus de 50 % des territoires recouverts par le permafrost pourraient fondre d’ici 2050, et jusqu'à 90 % d’ici la fin du siècle.
A noter aussi que outre le danger climatique, le dégel du permafrost représente une menace sanitaire. Les études successives menées sur le peuple microscopique piégé depuis des dizaines, centaines voire milliers d'années dans la glace, ont permis d'identifier une grande diversité de bactéries, d'archées et de virus.
ETHYMOLOGIE : La terme ECOSYSTEME a été inventé par le botaniste anglais George Tansley en 1935, à partir des racines grecques "Oikos", maison et "Systema", réunion en un corps de plusieurs choses ou parties, ensemble.
Le dictionnaire de l’Académie Française nous dit que le mot Ecosysteme est un terme de biologie qui désigne un Ensemble formé par une communauté d’êtres vivants, animaux et végétaux, et par le milieu dans lequel ils vivent. Les composants d’un écosystème sont en interaction constante.
En écologie, un écosystème est un ensemble formé par une communauté d'êtres vivants en interaction avec leur environnement.
Les composants de l'écosystème développent un dense réseau de dépendances, d'échanges d'énergie, d'information et de matière permettant le maintien et le développement de la vie.
L’écosystème est l'unité de base du champ d’étude scientifique de la nature.
L’écosystème est un milieu physiquement délimité, constitué de ses deux composantes indissociables : le biotope et la biocénose.
Le biotope : c’est-à-dire un environnement physique particulier avec des caractéristiques physiques spécifiques (température, humidité, climat)
La biocénose désigne un ensemble d’êtres vivants (animaux, végétaux, micro-organismes) en interaction, et donc en interdépendance.
La biocénose (les êtres vivants) évoluent sur un biotope particulier (environnement) et l'ensemble constituent un écosystème.
Une entité vivante, ou une partie de cette entité, constitue elle-même un écosystème en soi (exemple : le biotope intestinal et son microbiote).
Une forêt est un milieu naturel où vivent une multitude d'espèces animales et végétales. Elles ont toutes besoin les unes des autres, mais aussi de la forêt, pour vivre. On dit qu'une forêt est un écosystème.
La Biodversité est aujourd'hui fortement affectée par le réchauffement climatique.
Sur 112 432 espèces étudiées, 30178 sont classées comme étant menacées, comme les oiseaux , les mammifères, les végétaux et les insectes.
Proposition de lectures :
09 - EVOLUTION
ETHYMOLOGIE : le mot EVOLUTION est dérivé du latin evolutio qui signifie "action de dérouler".
Le dictionnaire de l’Académie Française nous dit que le mot EVOLUTION peut désigner "l'action de se mouvoir en tournant", "un mouvement concerté exécuté par une formation militaire, (ou théatrale)", "une suite de transformations progressives, de développements graduels, de modifications".
En biologie, le mot indique l’ensemble des transformations qui ont affecté ou qui peuvent affecter les espèces vivantes.
Se dit aussi en astronomie pour décrire des changements profonds de structure qui affectent la matière, tel le passage de l’état gazeux diffus à l’état stellaire.
Le dictionnaire de l’Académie Française nous dit que le mot EVOLUTION peut désigner "l'action de se mouvoir en tournant", "un mouvement concerté exécuté par une formation militaire, (ou théatrale)", "une suite de transformations progressives, de développements graduels, de modifications".
En biologie, le mot indique l’ensemble des transformations qui ont affecté ou qui peuvent affecter les espèces vivantes.
Se dit aussi en astronomie pour décrire des changements profonds de structure qui affectent la matière, tel le passage de l’état gazeux diffus à l’état stellaire.
La théorie de l'évolution est en grande évolution : Après Lamarck, Darwin, Grégor Mendel, Richard Dawkins, les découvertes continuent.
Proposition de lectures :
ETHYMOLOGIE : le mot BIOSPHERE est dérivé des mots grecs "bios" qui signifie "vie" et "sphaïra" : balle, ballon, globe.
Le dictionnaire de l’Académie Française nous dit que le mot "biosphère" désigne l'enveloppe du globe terrestre où se trouvent réunies les conditions de la vie. La biosphère comprend les eaux, les couches supérieures du sol et la couche inférieure de l’atmosphère.
La biosphère est l'une des couches géochimiques de la Terre, avec la barysphère (noyau central de la Terre), la lithosphère (roches-mères), l'hydrosphère (eau) et l'atmosphère (air), nous dit l'un.
La biosphère est l'ensemble des organismes vivants et leurs milieux de vie, donc la totalité des écosystèmes présents que ce soit dans la litosphère, l'hydrosphère et l'atmosphère, nous dit l'autre.
C'est un peu imprécis et le périmètre insuffisamment défini.
On en restera là pour l'instant.
Proposition de lectures :
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à nouveau 10 mots de plus dans le Glossaire très bientôt !
Transition écologique signifie avant tout Transformation des modes de vie.
à bientôt dans un prochain post pour en savoir plus, continuer à se former, échanger les bonnes pratiques et les changements d'habitude.
Bonne semaine !
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