La News Letter du Samedi 05 Février 2022
Le climat mais seulement …
Donc nous voilà à la newsletter numéro 6 en ce samedi 5 février où j'essaie peu à peu d'expliquer pourquoi les PME et les TPE doivent aussi réfléchir à l’implantationde la RSE dans leur organisation afin de tenir compte de leurs impacts sociaux et environnementaux. Ce peut être pour de bonnes raisons, légales, éthiques, morales, pour communiquer parce que ça fait une différence, peu importe, le principal c'est de s'y mettre.
Alors arrêtons-nous un instant sur des raisons, j’ai presque envie de dire de simple bon sens, qui font la nécessité de cette démarche, de cette transition.
Nous l'avons vu cet été : la Californie qui brûle, les séquoias en flammes, 50° au Canada, inondations énormes en Allemagne et en Belgique, sans parler de l'Australie en flammes au cours de l'hiver et autres phénomènes de tsunami, typhons ou autre tempête de plus en plus violentes et de plus en plus rapprochées.
Le climat est à l'évidence déréglé et selon le rapport du GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) diffusé au mois d'août de l’année 2021, ce sont bien les humainsqui sont à l'origine de ces règlements accélérés.
Nous aurons l'occasion de revenir sur ce dérèglement climatique dans d'autres billets, mais il n'y a pas que le climat, et j'aimerais vous glisser vous parler ici de :
. des stocks de matières premières
. de l’épuisement de l'eau douce
. du défrichement des forêts
. de la biodiversité malmenée
. de la disparition d'animaux et de plantes
. de l’acidification des océans
. de la pollution de l'air
. des déchets
. de l’impact sur la santé
Comme toujours, on se rend bien compte en lisant cette liste que toutes les questions sont interconnectées et ont un impact les unes sur les autres et les unes avec les autres.
Les stocks de matières premières
Les matières premières sont les éléments extraits de la nature et produits par elle et que l'homme va utiliser directement ou bien transformer en produits de consommation.Certaines sont renouvelables comme tous les produits que l'on cultive, le café, le coton ou le blé ; d'autres sont non renouvelables et leur quantité est limitée : le pétrole, le charbon, le gaz et tous les minéraux.
Les matières premières NON renouvelables sontpuisées dans le sol, depuis toujours, avec une première accélération à la toute fin du 18e siècle et une nouvelle accélération après la 2e guerre mondiale, il y a 70 ans.
Si ces matières, bases de notre monde industriel, ont permis une amélioration certaine du niveau de vie général, elles contribuent à une dégradation de l'environnement par l'amas de déchets produits et non traités. Avec les sous-produits fabriqués par l'homme à partir de ces matières premières, on pollue les sols, les océans et l'air.Et tout l'écosystème s'en trouve malmené.
La consommation des matières premières non renouvelable est colossale :
Si on prend l'exemple du fer, qui est un bon indicateur car il rentre dans la fabrication de nombreux biens, on estime, qu'avant le 18e siècle, on consommait environ 300000 tonnes de fer par an ; en 1850, on en consomme 12 millions tonnes ; en 1980, on consomme 1,2 milliard de tonnes et en 2020, on consomme un peu plus de 2,2 milliards de tonnes.Notons, que le fer est un matériau entièrement recyclable, (mais très souvent non recyclé).
Il reste encore beaucoup de matières dans les sols mais les matières d'accès facile sont de plus en plus rares, aller puiser du pétrole ou des métaux au fond des océans est d'un coût prohibitif.
Les matières premières renouvelables sont de 2 ordres : Celles qui vont se renouveler à l'échelle humaine comme par exemple le café ou le coton qui produisent une récolte chaque année, ou bien se renouveler à l'échelle de plusieurs générations comme le bois. Et là encore on détruit, on pourrait dire on saccage, sans réflexion, sans respect de la législation, sans respect de la nature et des équilibres.
Notons aussi que la production de ces matières renouvelables peut conduire à la détérioration de matières NON renouvelables comme l’eau.
L’abondance n’est plus au rendez-vous, et la sobriété n’est pas encore au rendez-vous.
L’épuisement de l'eau douce
Notre planète bleue est couverte pour presque 3/4 de sa surfacepar de l'eau.
On pourrait croire que les réserves d’eau sont inépuisables.Mais ce n'est pas vraiment le cas.La majeure partie de l'eau (97%) se trouvent dans les océans et les mers, de l'eau salée impropre à la consommation, humaine, animale ou végétale.
Les 3% restants sont de l'eau douce dont environ les 2/3 sont prisonnières dans les calottes glaciaires et donc inaccessibles. Le 1/3 restant se situe dans des gisements souterrains appelés nappes phréatiques, et la moitié de cette eau n'est exploitable que partiellement car elle se situe en dessous de 800 mètres de profondeur.
Finalement, seulement 0,02% de l'ensemble des réserves d'eau douce se situent dans les eaux de surface comme les ruisseaux, les rivières et les lacs et sont donc alors directement accessibles.
L’eau qui tombe sous forme de pluie de neige ou de grêle sur la terre ne constituent que 0,01% et encore seule une partie est effectivement accessible et utilisable par l'homme.
Les réserves d'eau sous donc en réalité extrêmement limitées.
Seule une très faible (0,001%)partie de l'eau présente sur la planète est finalement accessible et utilisable par l'homme. On estime que cela représente environ 2 000 m3 d’eau par personne et par an.
Aujourd'hui la consommation annuelle d’eau représente environ 1/3 des ressources disponibles mais on peut s'attendre à ce que cette consommation continue à augmenter (croissance démographique et élévation du niveau de vie obligent).
Dans certaines régions, cette consommation intensive de l'eau dépasse le taux de renouvellement naturel. Chaque année, on prélève plus d'eau que le cycle de l'eau ne peut en fournir.
Cette surconsommation est aggravée par la pollution qui réduit considérablement les ressources.
Les pénuries d'eau concerneront la moitié de la population mondiale en 2050.
La production des matières premières, qu'elles soient renouvelables ou non renouvelables, ont des effets délétères sur l'eau ; on notera, pour exemple:
Les abus d'une agriculture irraisonnée comme on peut le constater sur le fleuve Colorado qui n’est plus qu’un filet à son embouchure.
L’extractiondes métaux dits rares, des millions de tonnes de terre sont brassées et lavées pour récupérer au final le métal convoité.L'eau douce est alors souillée … et perdue.
La culture du coton est aussi problématiquecomme autour de la mer d'Aral (le 4èmeplus grand lac de la planète il y a 50 ans), désormais asséchée,(mais qui serait en train de renaître), ou dans le Xinjiang (Ouest de la Chine).
La production des matières premières, qu'elles soient renouvelables ou non renouvelables, ont des effets délétères sur l'eau.
L’abondance n’est plus au rendez-vous, et la sobriété n’est pas encore au rendez-vous.
Le défrichement des forêts
Les défrichements des forêts sont liés à l'extension de terres agricoles, à l'exploitation des ressources minières du sous-sol, à l'urbanisation, ou à l'exploitation anarchique de certaines essences forestières.
La déforestation a toujours existé mais elle a pris des proportions et une rapidité jamais atteinte.
La déforestation est aussi responsable de l'émission de gaz à effet de serre puisque beaucoup se produit par brûlis.
La moitié des forêts de la planète a ainsi été détruites au cours du 20e siècle.
En 2021, lors de la COP 26 plus de 100 dirigeants de pays qui abritent 85% des forêts du globe se sont engagés à arrêter la déforestation d'ici 2030 mais les ONG environnementales regrettent que l'accord ne soit pas contraignant.
Il est à noter que les forêts primaires ne constituent plus que 25% de la superficie forestière mondiale, les superficies ainsi détruites connaissent des avenirs divers : savane, désert, culture de soja, arbre de rente comme le palmier à huile ou l’hévéa, ou encore le théier, le caféier ou le cacaoyer.
Cette déforestation contribue à la perte de biodiversité.
L’abondance n’est plus au rendez-vous, et la sobriété n’est pas encore au rendez-vous.
La biodiversité malmenée
Avec presque 2 millions d'espèces d'animaux, de plantes, de champignons, de microorganismes divers et d'une multitude d'espèces encore à découvrir, la Terre est plus que vivante. C'est cette extraordinaire variété que l'on nomme biodiversité. Toutes ces espèces sont le résultat d'un long processus qu'on appelle l'évolution.
Si on réduit l'histoire de l'évolution de la vie sur terre à une année, on arrive au résultat suivant : la terre a été formée le premier janvier, les premières formes de vie se manifestent en avril et les plantes arrivent fin novembre. Les dinosaures voient le jour mi-décembre et s'éteignent à Noël. L'homme arrive sur terre le 31 décembre à 23h25, il construit les pyramides d'Égypte 30 secondes avant minuit et découvre l'Amérique 3 secondes avant la fin de l'année.
Et il a trouvé le moyen en quelques milli secondes, sur cette échelle de détruire en partie cette biodiversité.
On citera le cas du rhinocéros blanc, abondant autrefois dans le nord de l'Afrique Centrale. Aujourd'hui, la seule population connue se trouve dans la République démocratique du Congo où les effectifs sont réduits à 2 individus. Le dernier spécimen mâle est mort le 19 mars 2018. 2 femelles sont encore en vie, la mère est nomméeNajin et sa fille est nommé Fatu. Le rhinocéros blanc et le plus gros mammifère terrestre après l'éléphant.
Ajoutons à cela que les forêts tropicales humides sont les zones les plus riches en biodiversité de la planète. On estime qu'elles hébergent 80% des espèces alors qu'elle ne représente que 7% de la surface terrestre.
Un écosystème est un ensemble dynamique d'espèces vivantes (plantes, animaux, champignons et microorganismes) qui interagissent entre eux et avec le milieu (la nature du sol, le relief, le climat, etc…) dans lequel ils vivent et dont ils dépendent et sur le lequel ils exercent en retour une influence.
La biodiversité est un indicateur de santé d'un écosystème.Si on veut protéger la planète, il est nécessaire de protéger la biodiversité, c'est à dire qu'il faut à la fois protéger les écosystèmes, les espèces et les individus.
La biodiversité est fortement utile à l'homme. Elle joue un rôle essentiel dans notre vie. Elle est à l'origine de nombreux produits et services gratuits utilisés par les humains comme par toutes les espèces.Elle a, de ce fait, une valeur inestimable et irremplaçable. Les services qu'elle rend peuvent être répartis en plusieurs catégories :
Ø les approvisionnements
. en nourriture
. en matière première et combustible
. en médicament, l'homme utilise les plantes pour se soigner
Ø la régulation
la biodiversité permet la régulation du climat, le contrôle des maladies, la prévention des inondations, le maintien de la qualité de l'eau, le traitement des déchets, la régulation des nuisibles. Par exemple, la forêt absorbe poussière fine et substances toxiques.
Ø les services de soutien
La biodiversité assure le fonctionnement naturel des écosystèmes qui sont indispensables à la production d'autres services
le cycle de l'eau
la photosynthèse et la production d'oxygène
la formation et la fertilisation des sols
la pollinisation
La séquestration du dioxyde de carbone permettant de réguler les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère
Ø les services culturels
l'homme va retirer de la biodiversité des bienfaits non matériels
. relaxation
. création artistique enrichissement spirituel
. inspiration pour les sciences et la technologie.
Plus la biodiversité sera respectée, plus elle restera riche, mieux elle assurerases nombreux services
L’abondance n’est plus au rendez-vous, et la sobriété n’est pas encore au rendez-vous.
Les déchets
Un déchet se caractérise par le fait qu'il est devenu inutile aux yeux de son propriétaire et que celui-ci cherche à s'en débarrasser ou bien, qu’il a l'obligation de s'en défaire. Chaque produit ou objet que nous utilisons devient un jour un déchet.
En pratique définir un déchet est assez complexe.
Ce qui constitue un déchet pour l'un peut être une matière première pour l'autre et la frontière entre déchets et ressources devient très flou.
Le sujet est très vaste et demandera au moins un article en soi. Donnons quand même quelques points de repère et classons les déchets.
On classe souvent les déchets en fonction de leur provenance :
- les déchets ménagers
- les déchets industriels
- les déchets inertes qui ne subissent pas de traitement spécial lors de leur élimination, comme les déchets de construction et de démolition
- les déchets non dangereux
- les déchets dangereux
Les quantités de déchets produits au niveau mondial sont en augmentation constante. On produit en moyenne 250 kilos de déchets par personne et par an au niveau mondial mais le spectre est très large puisqu'il peut aller de 4 kilos de déchets en Éthiopie à 1450 kilos en Russie.
Nous produisons 4 fois plus de déchets qu'en 1950.
80% des biens vendus dans le monde seraient jetés après une seule utilisation.
La plus grande partie des déchets est composée des déchets industriels.
Les déchets issus de l'activité des ménages sont de l'ordre de 12% pour un pays occidental.
Notons que tous ces produits ne sont déchets que parce qu'on a décidé de ne pas les traiter.
Et la majeure partie sont compostables ou recyclables.
Les circuits organisés en Europe et notamment en France sont largement insuffisants même si de notables progrès peuvent être constatés.
L’abondance n’est plus au rendez-vous, et la sobriété n’est pas encore au rendez-vous.
L’acidification des océans
L’acidification des océans désigne la baisse progressive du PH des océans causée notamment par les pollutions humaines. L’océan devient de plus en plus acide ce qui perturbe l'écosystème et la biodiversité.
L'acidification des océansest un phénomène complexe avec de multiples conséquences sur les équilibres des écosystèmes mondiaux.
Les causes de l'acidification des océans sont multiples. 3 principales ressortent :
- l'absorption de surplus de CO 2 par les océans, qui est la cause principale
- l'absorption de composés azotés par l'océan
- l'absorption de composés soufrés par l'océan
Les sociétés humaines dégagent des quantités importantes de gaz à effet de serre et notamment du CO2 mais tout ce CO2 ne reste pas dans l’atmosphère, une partie est absorbée par les plantes et les arbres et une autre partie, environ 1/3, est absorbée par les océans. Le CO 2 se dissout progressivement dans l'eau, ce qui produit de l'acide carbonique qui réduit le ph de l'eau. Le surplus de CO 2 depuis 250 ans a grandement contribué à augmenter le niveau d'acidité des océans.
Cette évolution a des conséquences importantes sur l'écosystème, elle affecte notamment la qualité du plancton et sa capacité à se renouveler. De plus, le plancton produit l'oxygène nécessaire à l'équilibre océanique et atmosphérique : moins de planctons impliquent moins d'oxygène.
L'écosystème marin et la chaîne alimentaire sont perturbés.
D'autres éléments perturbent aussi l'équilibre des océans comme les nombreux visiteurs humains qui se déplacent à l'aide de machines vibrantes et vibrionnantes. Ces engins, dans l’eau ou en surface,ont une influence sur les écosystèmes et la communication entre les animaux et leurs points de repère.
L’abondance n’est plus au rendez-vous, et la sobriété n’est pas encore au rendez-vous.
La pollution de l'air
L'air nous entourent partout et en permanence. L’air est composé d'un mélange de gaz invisibles et sans odeur dont les concentrations ont changées au cours de l'évolution de la planète. Actuellement l’air est composé à 78% d'azote, à 21% d'oxygène et de nombreux autres gaz à l'état de trace. Ces gaz sont souvent nocifs quand leur concentration est trop élevée. L’air contient également de l'eau sous forme de vapeur dont la quantité varie entre 1% et 4% du volume d'air.L'air contient évidemment des particules en suspension de nature diverse : des poussières.
L'oxygène est indispensable au développement et au maintien de la vie sur terre, il est à la base de la respiration des organismes vivants.
La planète Terre est entourée d'une fine couche blanche d'environ 700 km d'épaisseur. C’est l’atmosphère. Elle a une épaisseur d’environ 700 km, (ce qui équivaut à une simple pelure de fruit comparativement au rayon de la terre qui est de 6730 km).
Les proportions d'azote, d'oxygène et d'argon sont constantes dans toute l’atmosphère tandis que les proportions d'eau, de gaz carbonique, de dioxyde de soufre et d'ozone varient avec l'altitude.
L'ozone a une fonction majeure puisque il arrête une grosse partie des rayon ultra-violet envoyés par le soleil. Il laisse passer les UVA et 5 % des UVB. Il bloque le reste des UVB et les UVC, sans cela la vie serait impossible sur la Planète.
Dans l’autre sens, certains gaz (dits gaz à effet de serre et notamment le CO2) empêchent les rayons infrarouges émis par la terre de repartir dans l’atmosphère.Les rayons infrarouges sont la chaleur. Cette chaleur est naturellement évacuée vers l’espace. Cependant, lorsqu'elle rencontre les gaz imperméables en question, elle ne peut s'échapper, ou s'échappent insuffisamment, d’où le réchauffement.
On parle de pollution atmosphérique quand on décèle dans l'air la présence de particules en quantité importante.
La pollution atmosphérique est provoquée essentiellement par 2 sources :
La concentration de certains constituants naturels de l’atmosphère qui génèrent des effets indésirables. ILs peuvent provenir des activités humaines ou de phénomènes naturels comme une éruption volcanique.
La pollution peut résulter aussi de l'émission dans l'air de particules de substances dangereuses produites par l'homme.
On parle de pollution atmosphérique quand on décèle dans l'air la présence de particules en quantité importante. La pollution atmosphérique est provoquée essentiellement par 2 sources :
La concentration de certains constituants naturels de l’atmosphère qui génèrent des effets indésirables. ILs peuvent provenir des activités humaines ou de phénomènes naturels comme une éruption volcanique.
La pollution peut résulter aussi de l'émission dans l'air de particules de substances dangereuses produites par l'homme.
L’abondance n’est plus au rendez-vous, et la sobriété n’est pas encore au rendez-vous.
L’impact sur la santé
De nombreux facteurs influencent l'état de santé d'un individu
des variables biologiques, l'âge et l'hérédité
des facteurs comportementaux et de mode de vie : tabac, hygiène, nutrition, rythme de vie
des facteurs socio-économiques : accès aux soins, niveau d'éducation
l'état psychologique et émotionnel
la sensibilité particulière de chaque individu
les facteurs environnementaux.
l'environnement, et tout ce qui nous entourent, agit de manière direct sur l'organisme humain.
Rappelons le phénomène de la respiration : en respirant nous absorbons l'air, par le nez ou la bouche, qui rejoint ensuite les poumons. L'oxygène de l'air passe alors dans le sang et se fixe sur les globules rouges pour alimenter toutes les cellules qui composent notre corps. Ensuite, nous expirons de l'air qui contient du gaz carbonique, résultat de l'activité des cellules qui composent notre corps. Les poumons font partie des 5voies d'élimination majeures des toxines, les autres sont le foie les reins les intestins et la peau.
Nous expirons donc de l'air, qui contient du gaz carbonique, résultat de l'activité des cellules qui composent notre corps.Nous respirons environ 15 fois par minute et absorbons à chaque fois environ 500 ml d'air. Chaque jour environ dix mille litres d'air transitent par nos voies respiratoires
L’airque nous respirons est donc un facteur essentiel de la bonne santé
Mais il en est de même de ce que nous mangeons, de là où nous habitons, de la façon dont nous transportons …
Ne perdons pas de vue les impacts de nos activités sur notre environnement et notre responsabilité car cela nous revient en boomerang.
L’abondance n’est plus au rendez-vous, et la sobriété n’est pas encore au rendez-vous.
Note finale :
L'importance (le volume) des activités humaines, et donc la responsabilité du genre humain, ressort à l'évidence à travers cette toute première ébauche.
L’homme épuise les ressources, l’homme fabrique des déchets, l'homme perturbe les équilibres, l'homme gaspille.
Pourquoi ?
Il ne mesure pas à l'évidence les impacts socio et environnementaux de ses actions.
Redonner du sens est une nécessité absolue : cela va demander beaucoup de temps et que l'on s'y mette maintenant, en embarquant chacun tout son entourage.
L’abondance n’est plus au rendez-vous, et la sobriété n’est pas encore au rendez-vous.
Mais quelquefois, nous sommes sur la voie : avançons dans ce sens.
Véronique
RSE POUR TOUS
Copyright Véronique Mascré//RSE pour Tous - Tous droits réservés