News Letter n°2023 - 31 du Samedi 05 Août

Rapport Durable et Normes EFRAG

Episode 19 - Double Matérialité

CSRD = Corporate Sustainability Reporting Directive

= Directive sur les rapports de durabilité des entreprises


Ca y est ! La très attendue « Annexe au Règlement délégué (UE) de la Commission complétant la directive 2013/34/UE du Parlement européen et du Conseil concernant les normes de reporting de développement durable » qui présente les nouveaux standards de reporting de durabilité des entreprises et qui appuie la directive CSRD (Corporate sustainability reporting directive), Annexe encore appellée Normes ESRS ou encore Normes EFRAG, du nom de l’association chargée de leur rédaction, a été publiée (en anglais) ce lundi 31 Juillet 2023.

Un joli pavé de 245 pages tout de même.


Avant de rentrer dans les détails des attendus de ces Normes, je vous propose d’examiner ce qui est au cœur du dispositif : la double matérialité.

NB : vous l’aurez compris, si vous êtes déjà un spécialiste de la RSE ou une grande entreprise, cet article n’est pas pour vous. Cet article est destiné aux ME (microentrepreneur effectif de moins de 10 personnes) et aux TPE/PME (effectif de moins de 250 personnes), non concernées (pour l’instant) a priori par la CSRD, sauf si donneurs d’ordres et autres parties prenantes les interrogent sur leurs propres indicateurs. Mais, cela peut servir de source d’inspiration, je l'espère ! Je vous laisse juge.


Rappelons si besoin que ces normes (communes à tous les secteurs) sont composées de 10 normes posant les pilliers E, S et G, "encadrées" par les 2 normes de base : Les réponses aux exigences des autres normes se font toujours en référence à ces 2 normes de base :

  • La norme ESRS 01 qui présente les principes généraux et
  • La norme ESRS 02 qui présente les exigences générales de publication

RNous avons examinés fin mai et tout le long des mois de juin et de juillet les 10 normes E, S et G. Voyons maintenant les 2 normes de base. Avant de rentrer dans les détails des attendus de ces Normes, je vous propose d’examiner ce qui est au cœur du dispositif : la double matérialité.

  • La définition du mot Matérialité
  • La double matérialité est le fondement du rapport durable
  • Préparer une matrice de matérialité
  • L'Identification des enjeux de l'entreprise
  • La quadruple matérialité
  • Déterminer la matérialité relative aux Impacts et la notion d'importance
  • Déterminer la matérialité relative aux risques et opportunités (dite matérialité financière)
  • La diligence raisonnable
  • La notion d'importance se complète d'une notion de seuils
  • Les parties prenantes
  • L'évaluation de la matérialité des impacts, des risques et des opportunités en synthèse

DEFINITIONS

Avant de déployer le sujet, voyons ce que signifie le mot « MATERIALITE »

  • Pour le dictionnaire le Robert , il s’agit d’un terme de droit qui signifie « Caractère matériel et vérifiable ». La matérialité du fait (qui est à distinguer de ses motifs).

Des synonymes du mot « matérialité » peuvent être Réalité ou encore Existence ou Pertinence

  • Le dictionnaire le Larousse ne dit rien de plus. Il renvoie à l’adjectif « matériel ». La matérialité est le caractère, la nature de ce qui est matériel.

L’adjectif matériel est expliqué par « ce qui est formé de matière, par opposition à l’esprit ou à l’âme ». des synonymes pourrait être : concret, effectif, palpable, tangible

  • Le dictionnaire de l’académie française nous dit que la « matérialité » est la « qualité de ce qui est matériel, et qu’en droit, la matérialité est le caractère de ce qui peut faire l’objet d’un constat objectif, de ce qui peut être vérifié ; on parlera de la matérialité des faits.
  • Le dictionnaire Le Littré ne dit rien de plus


L’éthymologie du mot nous conduit au latin : « materialis, materia » qui signifie « matière » et aussi au sanscrit mâtram, mesure et matière, venant de la racine mâ, faire avec la main, construire, mesurer.


Bref, nous sommes dans le concret, le tangible, le mesurable et ce sont sur ces acceptions que repose la CSRD, ses Normes et le Rapport Durable.


(A noter qu’en fait le terme matérialité, nous revient en français comme un boomerang d’une adaptation de l’anglais materiality, terme issu du jargon de l’audit financier. La matérialité se caractérise à l’origine par le choix d’indicateurs comptables permettant de mesurer le niveau de performance et de fiabilité d’une entreprise).


LA DOUBLE MATERIALITE EST LE FONDEMENT DU RAPPORT DURABLE

Le règlement est très clair là-dessus et annonce dans le paragraphe 21 au chapitre 3 :


« 21. L’entreprise doit faire rapport sur les questions de durabilité en se fondant sur le principe de la double matérialité défini et expliqué dans le présent chapitre » (donc le chapitre 3).


Bref, c’est la règle de base. Alors, comment cette double matérialité est-elle définie ?


PREPARER UNE MATRICE DE MATERIALITE


La matrice de matérialité est un concept qui existe depuis fort longtemps, qui consiste à réaliser une grille des priorités de l'entreprise en terme d'enjeux et prenant en compte ses différentes parties prenantes. Elle est aussi au coeur de la Norme ISO 26000.


Toute matrice de matérialité bien conçue commence par :

  • L’identification des enjeux (et de leurs impacts)
  • L’identification (et la hiérarchisation) des parties prenantes
  • L’instauration d’un dialogue avec les parties prenantes au sujet des enjeux
  • Une clarification des enjeux grâce au dialogue avec les parties prenantes
  • La réalisation de la carte/matrice elle-même


L’objectif final de cette matrice de matérialité étant que l’entreprise puisse déterminer les impacts, les risques et les opportunités importants à signaler.



C'est un exercice qui demande un peu de méthode et une formation préalable est fort utile.


  • Dans le cadre particulier du Rapport Durable, la norme ESRS 1 - Exigences générales détaillent un certains nombres d'attendus.

Voyons cela :

IDENTIFICATION DES ENJEUX DE L'ENTREPRISE

Définitions :


Dans le chapitre 1.3, §14, la norme définit le terme "impacts" de façon précise (je le reprends ici de façon intégrale) :

le terme « impacts » désigne

> les impacts positifs et

> les impacts négatifs

liés à la durabilité,

> qui sont liées aux activités de l’entreprise,

> tels qu’ils ont été déterminés par une évaluation de l’importance relative (= évaluation de la matérialité des impacts).

Le terme fait référence à la fois

> aux impacts réels

> et aux impacts futurs potentiels.


Le terme « risques et opportunités » désigne :

> les risques et opportunités

financiers liés à la durabilité de l’entreprise,

y compris ceux qui découlent de la dépendance à l’égard des ressources naturelles, humaines et sociales, tels qu’ils sont définis dans une évaluation de l’importance financière (voir la section 3.5).


Collectivement, ils sont appelés « impacts, risques et opportunités » (IRO).

Ils reflètent la double perspective de matérialité de l’ESRS décrite à la section 3.

Identifier les impacts :

La norme ESRS 01 propose pour identifier les enjeux de l’entreprise une grille récapitulative des enjeux possibles à prendre en compte, cette grille renvoyant elle-même aux 10 normes spécifiques (Environnement 1 à 5, Social et Sociétal (1à4) et Gouvernance G1).


2 questions viennent alors :

L’enjeu existe-t-il pour l’entreprise, est-il matériel ? OUI, par exemple, j’utilise de l’électricité pour mon entreprise

L’enjeu est-il important ? NON car je travaille uniquement à la lumière du jour et sans aucun appareil électrique (sic !).


C'est la combinaison de cette notion d'existence et de cette notion d'importance qui détermine la MATERIALITE de l'enjeu.


NB : si vous avez déjà mené dans votre entreprise une démarche d'implantation de la RSE selon la Norme ISO 26000 : rien de nouveau sous le soleil !


La grille de l'annexe A (§ AR16) est complétée à l'annexe E d'un organigramme de "prise de décision" qui permet de déterminer ce niveau de matérialité, ou plus exactement, ce qu'il convient de publier .


La notion d’importance est définie dans la norme selon 2 axes :

  • La Matérialité de l’impact (détaillée au chapitre 3.4 Matérialité de l'impact)
  • La Matérialité financière (détaillée au chapitre 3.5 Matérialité financière // Matérialité liés aux risques et opportunités)

ou la combinaison des 2


Le niveau de publication décidé par l'entreprise découle de cette analyse.

Si l’entreprise conclue que l’enjeu est important, les informations requises sont alors publiées.

Si l’entreprise conclue que l’enjeu n’est pas important, une explication détaillée des conclusions de son évaluation doit être publiée, détaillée pour les questions du changement climatique, brève dans les autres cas.

Nous verrons plus en détail les exigences de publication dans le prochain article de ce blog.


Si les politiques, les actions ou les cibles idoines n’ont pas été mise place, l’entreprise doit le déclarer et peut faire état d’un calendrier dans lequel elle vise à les mettre en place.


LA DOUBLE MATERIALITE

La matérialité est présentée comme ayant 2 dimensions :

  • La Matérialité liée aux impacts émis (produits par l'entreprise - exportés) et aux impacts subis (par l'entreprise - importés)
  • La Matérialité liées aux risques et aux opportunités, encore appelé matérialité financière.


N'a-t-on pas là 4 dimensions, ce qui me parait pédagogiquement beaucoup plus clair ?

Bref, c'est ce qui a été choisi par l'EFRAG, acceptons,bien évidemment, cette terminologie, mais en comprenant bien les différents axes de la démarche.


Ces différentes dimensions sont à l'évidence interreliées et interdépendantes.

Il est précisé que (§37 de la Norme) les impacts sont pris en compte dans la perspective de l’importance relative (de la matérialité) de l’impact, qu’ils soient ou non financiers.


Ces 4 axes de matérialité sont pris en compte par l'entreprise dans les domaines où ils sont susceptibles de se produire en fonction :

  • de la nature des activités,
  • des relations d’affaires,
  • des zones géographiques
  • ou autres facteurs concernés.


LA MATERIALITE relative aux IMPACTS

1 - Répérer les impacts :

Les impacts concernés par une question de durabililté revêtent de multiples critères :

  • réels ou potentiels,
  • positifs ou négatifs

Ils portent sur :

  • les personnes
  • ou l’environnement

dans une temporalité

  • à court,
  • à moyen ou
  • à long terme.

Les impacts comprennent ceux qui sont liés :

  • aux propres opérations de l’entreprise
  • et à la chaîne de valeur en amont et en aval, y compris par ses produits et services,
  • ainsi que par ses relations commerciales.

Les relations d’affaires comprennent :

  • celles qui font partie de la chaîne de valeur en amont et en aval de l’entreprise
  • elles ne se limitent pas aux relations contractuelles directes.

Les impacts des produits et services, en eux mêmes, doivent être examinés (utilisation d'énergie occasionnés par l'usage, déchets de fin de vie alors que les produits ne sont plus dans l'entreprise, gestion des emballages, etc...

2-La notion d'importance

Une fois répertoriés les impacts possibles, il conviendra d'en évaluer l'importance qui s'appuie sur :

  • le processus de diligence raisonnable défini dans les instruments internationaux des Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme et

https://www.ilo.org/empent/areas/mne-declaration/WCMS_858695/lang--fr/index.htm

  • les Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales.

https://doi.org/10.1787/0e8d35b5-fr.

Je reviendrai sur ces 2 textes fondateurs dans un autre article.


Ensuite, distinction sera faite entre les impacts négatifs et les impacts positifs.


La notion d'importance pour les impacts négatifs

Pour les impacts négatifs réels, la matérialité est fondée sur la gravité de l'impact, basée sur les facteurs suivants :

  • a) l’échelle (l'ampleur, le niveau) : la gravité de l’impact pour les personnes ou l’environnement
  • b) le scope (la portée, le périmètre) : l'étendue des impacts négatifs. Dans le cas des impacts environnementaux, la portée peut être comprise comme l’étendue des dommages environnementaux ou un périmètre géographique. Dans le cas des impacts sur les personnes, la portée peut être comprise comme le nombre de personnes affectées négativement.
  • c) le caractère irrémédiable de l’impact : si et dans quelle mesure les impacts négatifs pourraient être assainis, c’est-à-dire restaurer l’environnement ou les personnes touchées à leur état antérieur.

(annexe A - § AR10)

Pour les impacts négatifs potentiels, la matérialité est fondée sur la gravité et la probabilité de l'impact.

Si il s'agit de droits humains, la gravité prime sur la probabilité.


La notion d'importance pour les impacts positifs

Pour les impacts positifs, l’importance relative ($46) est fondée sur :

  • a) l’ampleur et la portée des impacts réels et
  • b) l’ampleur, la portée et la probabilité des impacts possibles.

LA MATERIALITE relative aux RISQUES ET OPPORTUNITES appellée encore Matérialité financière

L’évaluation de l’importance financière correspond à l’identification de renseignements qui sont considérés comme importants pour les principaux utilisateurs des rapports financiers généraux lorsqu’ils prennent des décisions concernant la fourniture de ressources à l’entité (§48).


Une question de durabilité est importante d’un point de vue financier si elle déclenche, ou pourrait raisonnablement déclencher, des effets financiers importants sur l’entreprise.


Les dépendances aux ressources naturelles, humaines et sociales peuvent être une source de risques financiers ou d'opportunités de plusieurs façons :

  • a) elles peuvent influencer la capacité de l’entreprise à continuer d’utiliser les ressources nécessaires à ses processus opérationnels,
  • elles peuvent influencer la capacité de l’entreprise à obtenir les ressources nécessaires à ses processus opérationnels,
  • elles peuvent influencer la qualité de ces ressources
  • elles peuvent influencer le prix de ces ressources
  • b) elles peuvent avoir une incidence sur la capacité de l’entreprise à faire appel aux relations nécessaires à ses processus opérationnels dans des conditions acceptables.


La matérialité des risques et des opportunités est évaluée en fonction de la probabilité d’occurrence et de l’ampleur potentielle des effets financiers.

LA DILIGENCE RAISONNABLE

La notion de diligence raisonnable entre dans le processus d'évaluation des impacts, risques et opportunités.

En fait il en est à la base.


Ce processus est décrit dans les instruments internationaux des Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme et dans les Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales, évoqués plus haut.


Je reviendrai sur cette notion dans le prochain article (pour ne pas alourdir un peu plus celui-ci).


LA NOTION D’IMPORTANCE S'ACCOMPAGNE D'UNE NOTION DE SEUIL

Les critères d'importance vu ci-dessus que ce soit pour les impacts ou pour les risques et opportunités sont appliqués (réfléchis) en utilisant des seuils quantitatifs et/ou qualitatifs appropriés (§42 de la norme).


Cette notion reste très floue à ce stade.


Maintenant que nous avons identifiés nos enjeux, abordons la question des parties prenantes.

LES PARTIES PRENANTES

La Norme décrit ($22+23+24, Ch 3.1) les qualités que doivent avoir les parties prenantes choisies, afin de respecter un certain degré de pertinence dans le cadre du processus

Dans l’ESRS 2 qui traite de la tructure et du contenu du rapport durable, au chapitre 3 (Stratégie), l’exigence de publication n°2 [dite SBM2 – Strategy Business Model 2), il est précisé (article 43) que « L’entreprise doit indiquer comment les intérêts et les opinions de ses parties prenantes sont pris en compte dans sa stratégie et son modèle d’affaires ».


Interroger les Parties Prenantes, internes, externes, de toute la chaine de valeur, sera donc un travail construit et instruit, parfaitement documenté, "auditable" par le Commissaire aux Comptes.


La norme propose 2 principaux groupes d'intervenants :

  • a) les personnes ou les groupes dont les intérêts sont touchés ou pourraient être touchés – positivement ou négativement – par les activités de l’entreprise et ses relations commerciales directes et indirectes dans l’ensemble de sa chaîne de valeur ; et
  • b) les utilisateurs des déclarations de durabilité :
  • les investisseurs existants
  • les investisseurs potentiels
  • les prêteurs
  • les autres créanciers
  • les gestionnaires d’actifs
  • les établissements de crédit
  • les entreprises d’assurance
  • les entreprises de notation (non notés dans la liste proposée par la norme)
  • les partenaires commerciaux de l’entreprise
  • les syndicats
  • les partenaires sociaux
  • la société civile
  • les organisations non gouvernementales
  • les gouvernements
  • les analystes
  • les universitaires.

L’annexe A (§AR6) précise que les catégories communes de parties prenantes sont les suivantes :

  • employés et autres travailleurs
  • fournisseurs
  • consommateurs, clients,utilisateurs finaux
  • communautés locales et
  • personnes en situation de vulnérabilité
  • autorités publiques, y compris les régulateurs
  • les autorités de surveillance et
  • les banques centrales.

Mais aussi LA NATURE qui sera considée comme une partie prenante silencieuse. (Annexe AR7)

On pourrait ajouter comme autre partie prenante silencieuse : Les générations futures.


La mobilisation des intervenants affectés est essentielle au processus continu de diligence raisonnable (voir le prochain article) de l’entreprise.

Identifier et évaluer les impacts négatifs réels et potentiels permet d'instaurer un dialogue constructif avec les parties prenantes, et les résultats de ces dialogues éclairent ensuite le processus d’évaluation pour identifier les impacts importants aux fins de la déclaration de durabilité.


L'EVALUATION DE LA MATERIALITE DES IMPACTS

Pour évaluer la matérialité des impacts et déterminer les questions importantes à déclarer, l’entreprise doit tenir compte des trois étapes suivantes (Annexe AR9) :

  • a) la compréhension du contexte par rapport à ses impacts, y compris ses activités, ses relations d’affaires et ses parties prenantes
  • b) la détermination des impacts réels et potentiels (négatifs et positifs), y compris par la mobilisation des intervenants et des experts. À cette étape, l’entreprise peut s’appuyer sur la recherche scientifique et analytique sur les impacts sur les questions de durabilité
  • c) l’évaluation de l’importance de ses impacts réels et potentiels et la détermination des questions importantes.

À cette étape, l’entreprise adopte des seuils pour déterminer quels impacts seront couverts dans sa déclaration de durabilité.

Tout cela prend un certain temps qui va dépendre du gap, de l'écart, entre l'état des lieux de l'entreprise et les attendus pour répondre à la norme : 24 mois semble une bonne moyenne, ce qui veut dire que cela commence en ce mois de septembre 2023.

à suivre ...

Cette analyse peut être lourde et complexe et demande organisation et rigueur mais est en même temps une opportunité formidable si elle n'a pas déjà été menée dans l'entreprise.


Elle repose comme nous l'avons vu sur le processus continu de diligence raisonnable qui sera examiné la semaine prochaine.


à bientôt dans un prochain post : pour en savoir plus, continuer à se former, échanger les bonnes pratiques et changer nos habitudes.


Transition écologique signifie avant tout Transformation des modes de vie.


Bonne semaine !


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